Lui rendre un hommage avec inhumation

L'inhumation ou l'enterrement est en France, le mode de sépulture de plus courant. 


L’in­hu­ma­tion est sou­mise à des règles pré­cises. Nous sommes à vos côtés pour vous ex­pli­quer les dé­marches à en­tre­prendre et les contraintes à res­pec­ter. Dans tous les cas, nous nous en­ga­geons à agir en toute trans­pa­rence, en vous gui­dant dans vos choix. Mais aussi en vous sou­met­tant un devis clair, dé­taillé, conforme à vos sou­haits.

Vous pou­vez opter pour une in­hu­ma­tion en pleine terre ou dans un ca­veau. La se­conde so­lu­tion consiste gé­né­ra­le­ment à réa­li­ser une struc­ture en béton qui ac­cueillera le cer­cueil ou l’urne. L’in­hu­ma­tion peut se ré­vé­ler être une so­lu­tion plus éco­no­mique que la cré­ma­tion, no­tam­ment s’il existe déjà une conces­sion avec un ca­veau fa­mi­lial et un mo­nu­ment déjà posé.

Quelle que soit la situation, l’inhumation doit respecter le règlement du cimetière.

L’inhumation est le moment le plus important de la cérémonie. En effet, elle permet aux proches du défunt de lui adresser un dernier mot pour lui dire au revoir.

On distingue trois grandes étapes lors de l’inhumation : l’arrivée du défunt au cimetière, le transport jusqu’au lieu d’inhumation puis la mise en terre.

Pratique la plus répandue, l’inhumation est pratiquée par toutes les religions.

Une per­sonne a le droit d’être in­hu­mée dans le ci­me­tière de la com­mune où elle ré­side (même si le décès à eu lieu dans une autre com­mune). À l’in­verse, elle peut aussi être in­hu­mée dans le ci­me­tière de la com­mune où elle est dé­cé­dée. Libre à cha­cun d’en dé­ci­der dans ses der­nières vo­lon­tés ou à la fa­mille d’en faire la de­mande.

Dans le cas où il existe une conces­sion fa­mi­liale, sous ré­serve qu’il reste de la place, le conces­sion­naire ou le des­cen­dant peut y être in­humé.

Rappelons que l’inhumation doit avoir lieu entre 24 heures et 6 jours ouvrables après le décès.